Bienvenue :
- Boucan à Pont-Aven,
- Clef des Mondes à Plélan-le-Grand,
- Elizabeth & Jo à Plougastel-Daoulas.
En attendant la parution d’un guide actualisé, découvrez ces trois nouveaux portraits :
[Cliquez sur chaque image]
Cette année ne sera ni tout à fait comme la précédente ni tout à fait une autre.
Nous, fédération de cafés-librairies, collectif d’une quarantaine de libraires, multiplions nos vœux pour le livre et la lecture, pour la Culture, pour vous.
En 2025,
Il y aura…
Des rencontres d’auteur-es de tous horizons accueillies dans nos cafés-librairies : la 14e édition de Thé, café et poésie ; les 5 ans de Livres en scène ; la 15e édition de Libres en littérature.
Nous souhaitons toujours…
Pour que la magie s’opère, des ingrédients sont essentiels :
Continuité … des liens de confiance, de solidarité entre professionnel-les de la Culture,
Valorisation … des auteur-es et de la création littéraire dans sa diversité,
Diffusion … des livres, de la lecture, de la Culture partout pour toutes et tous,
Convivialité … et liberté de se mettre d’accord sur nos désaccords,
Préservation … de notre indépendance.
Nos promesses :
Continuer d’explorer une littérature sans frontière, de nouvelles manières de faire et d’être ensemble,
Soutenir toujours plus le droit à une Culture émancipatrice.
Joyeuse année !
L’édition 2024 de LIBRES EN LITTÉRATURE consacrée à la santé mentale est terminée.
Rendez-vous l’automne prochain pour une quinzième édition.
En attendant, vous pouvez :
[ À écouter sur le site de la radio ou en cliquant sur l’image ]
Rencontre avec
Emmanuel VENET
Jeudi 28 novembre, 20h
Le Bel aujourd’hui à Tréguier
Vendredi 29 novembre, 20h
La Dame blanche à Port-Louis
Présentation de la rencontre [ici]
Extraits : « [la psychiatrie] est, plus que toute autre spécialité médicale, porteuse d’enjeux politiques cruciaux : la place du fou dans la société, l’espace accordé à l’anormalité, une déclinaison concrète de l’égalité inscrite dans la devise nationale. » p. 38. Manifeste pour une psychiatrie artisanale (éd. Verdier)
« Comme chacun j’avance à tâtons dans l’inintelligible, aidé par ces paroles qui me confirment que la marche la plus incertaine peut au moins trouver à se dire ; que les mots peuvent accueillir des réalités qui les excèdent ; et que parfois, un lambeau de réel se laisse piéger dans la langue, enchantement qui relance mon envie d’écrire le monde – ou tout au moins l’infime part que je crois en connaître. » p. 84 Virgile s’en fout (éd. Verdier)
Rencontre avec
Ludovic LECOMTE
pour son roman
La Cabane
(éd. L’école des loirsirs)
Vendredi 29 novembre, 18h30
La Cabane à lire, Bruz
Extraits : « Le monde dans lequel mes parents et moi vivions depuis toujours s’effondrait, et aucun de nous trois n’était capable de dire pourquoi. » p. 32
Rencontre avec
Mathieu BELLAHSEN
co-auteur de
La révolte de la psychiatrie
(éd. La Découverte)
Mercredi 20 novembre, 19h30
Les Métamorphoses à Douarnenez
Jeudi 21 novembre, 18h30
Le Temps qu’il fait à Mellionnec
Présentation de la rencontre [ici]
Extraits : « La psychiatrie est un observatoire privilégié de l’évolution de la société dans sa tolérance aux plus fragiles, aux plus déviants et « hors normes ». Elle peut aussi être un lieu d’expérimentation, à partir de cette marge, de formes démocratiques nouvelles, de nouvelles façons d’instituer la société où l’existence de tout un chacun serait à la fois respectée et moteur de transformation collective, aussi minimal soit-elle. » p. 10
« La folie est le révélateur du négatif à l’œuvre dans la société. (…) Plutôt que de chercher à la faire taire, mieux vaut donc admettre que la folie peut devenir un point d’appui pour lier autrement les individus et le monde commun. » p. 175-6 La révolte de la psychiatrie, Mathieu Bellahsen et Rachel Knaebel
Rencontre avec
Olivier BRISSON
auteur du livre
Pour une psychiatrie indisciplinée
(éd. La Fabrique)
Vendredi 15 novembre, 18h30
Livres in Room à Saint-Pol-de-Léon
Présentation de la rencontre [ici]
Extraits : « Si les soignants et les professionnels accompagnants n’ont pas une certaine sensibilité envers ce qui se joue dans les marges, une certaine affection pour les modes de vie hors norme, alors ils deviendront sans aucun doute des redresseurs de conduite, des agents normalisants. » p. 95
« Si le diktat de la vie normale, de la vie normée, nous fait horreur au quotidien dans toutes ses dimensions, ayons le courage de nous tourner vers d’autres pratiques de vie pour inspirer nos pratiques de soins. » p. 203